Dire que j'en étais à me demander: "Et si je balançait Eisbaer en dernier recours? Que penseraient les lecteurs d'un post-réminiscence sur une étoile électro des 80's?" Mais c'est après une réflexion relativement courte que je me rendis compte que ma ringardise n'avait d'égale que mon exubérance et qu'il était temps de calmer mes ardeurs, même face à une basse aussi destructrice que celle que possédait le titre sus-nommé. Tant pis. C'est que je m'en voudrais de vous infliger des références si peu glorieuses.
Je suis ingrate, mais je le dis. Vous délaisser ainsi est inhumain, c'est ainsi que j'ai décidé de vous emmener quelque part pour me faire pardonner.
Bière, bière, étincelle puis fumée
Danser dans des cimetierre, c'est comme ça qu'on traite la vie!
Qu'on la domine
Avec des verres qui tournent
C'est tout ce qu'on sait faire. On est des condamnés à la liberté et à vivre dehors.
Et j'ai la preuve, ce n'est pas tout le monde qui refuserait un verre d'eau à quelqu'un en feu. Quoique... J'arrête les private joke, mais à regret, parce que c'est un peu tout ce qu'il me reste pour chroniquer ces hyperhactifs de la vie. J'ai dors et déja usé de tous les noms, homonymes, adjectifs qualificatifs et superlatifs pour les décrires, eux, les tant convoités, mais j'ai toujours et toujours envie de vous les montrer. Parce que peut être qu'ils méritent d'être aimé par autant de gens que de gens qu'ils bénissent de leur musique (oui, je car je vous rapelle qu'ils font ça pour nous, hein).
Sans rancune, les gars, ok? Vous êtes chacuns spéciaux à votre manière, mais même la Terre a du mal à tous vous porter, alors moi à tous vous présenter...J'vous aime quand même.